Logo Lamed.frhttp://www.aish.comAccueil Lamed.fr
...
.

Famille

.
...
...
.

Soutenez-nous

.
...
Famille / Couple et sexualité back  Retour
Pas de mauvaise surprise !A la pêche au conjoint, comment s’assurer qu’il n’y a pas anguille sous roche.

Chères Rosie & Sherry,

Je viens de divorcer après un mariage abusif qui a duré six mois. J’aimerais me remarier, car je sais qu’il y a beaucoup d’hommes bien, mais j’ai peur de me tromper à nouveau. A quoi dois-je prêter attention en reprenant les rencontres ?

Il s’est avéré que mon ancien mari avait un passé de maladie mentale assez lourd remontant à son enfance ; ce fait m’avait été dissimulé par sa famille. Au cours des rencontres, j’avais été favorablement impressionnée par sa gentillesse et sa douceur, tout en sentant parfois qu’il agissait de manière dominatrice et que ses émotions prenaient facilement le dessus. Ce n’est qu’après notre mariage qu’il s’est montré physiquement et émotionnellement abusif. Je me suis sentie piégée, mais heureusement des gens formidables m’ont aidé à sortir de ce cauchemar.

J’ai une famille aimante qui me soutient beaucoup. J’aime mon travail et mène une vie sociale active.

Puisque je m’apprête à reprendre les rencontres, j’ai vraiment besoin de vos conseils.

Esther


Chère Esther,

En terme émotionnel, estimez-vous heureuse, car vous partez avec un grand avantage – une attitude extrêmement positive envers la vie – ce qui vous aidera dans tous les domaines. Les personnes positives dégagent un magnétisme particulier, elles sont plus performantes dans leur travail et plus accessibles aux autres. Il existe de nombreuses raisons à votre positivité, parmi elles votre tempérament, le haut degré d’estime, l’amour et le soutien continuels dont vous avez bénéficiés au sein de votre famille.

Certains « rescapés » de mariages abusifs n’ont pas ces avantages. Leur estime de soi est souvent faible. Ils croient parfois à tord qu’ils sont à blâmer pour le comportement abusif de leur conjoint ou qu’ils sont incapables de fonder un mariage sain. Parce qu’ils n’ont probablement pas développé les outils qui leur auraient permis de faire face à une telle situation et ne bénéficient pas aujourd’hui du système de soutien qui les aiderait à reprendre une vie normale.

Heureusement, ces personnes ont la possibilité de transformer leur vision et leur cadre de vie. Si leur famille ne peut leur fournir le soutien émotionnel dont elles ont besoin, elles peuvent le chercher à l’extérieur de la cellule familiale. Les amis de leur âge (entre 20 et 30 ans) n’ont peut-être pas l’expérience nécessaire pour combler ce besoin, mais il existe des organisations, telles que « la Maison de la Famille » de l’Association Lev, (0820 20 9870 (0.09 € la minute) susceptibles d’aider les victimes de mariage abusifs à trouver un groupe de soutien avec lequel elles pourront s’identifier.

Il est également important de restaurer sa confiance en soi. C’est un processus long qui doit être entrepris avec l’aide d’un thérapeute et/ou d’un programme, tel que celui de Dale Carnegie. Nous recommandons aussi le volontariat à un projet communautaire ou une organisation caritative, afin que l’individu puisse renforcer sa confiance en sa capacité d’influer positivement sur la vie des autres et, par extension, sur la sienne.

PROCéDé PRé éLIMINATOIRE

En ce qui concerne la reprise des rencontres, nous avons constaté que la plupart des gens ayant vécu des expériences similaires sont échaudés comme vous, avec raison. Leur ex-conjoint, sa famille et les personnes qui étaient en mesure de les alerter d’un danger potentiel ont trahi leur confiance. Rationnellement, ils savent que la plupart des personnes qu’ils seront amenés à rencontrer sont parfaitement équilibrées et capables de construire un mariage heureux et durable, mais ils ne peuvent s’empêcher de penser que si on les a trompé une première fois on peut les tromper une seconde.

Nous avons un certain nombre de suggestions pour vous aider à choisir un partenaire de rencontre et obtenir des informations exactes le concernant, avant d’envisager de l’épouser.

Il est toujours judicieux de rechercher des informations sur un candidat avant de le rencontrer. C’est une manière de découvrir si vous avez des valeurs et des buts communs qui vous permettront d’établir les fondements d’une relation de qualité. C’est aussi un moyen d’évaluer le candidat dans d’autres domaines, tels que son entourage, ses objectifs de vie et sa personnalité de manière générale, ce qui inclut l’équilibre sentimental de cette personne et son comportement en cas de difficultés. Nous pensons que cette pratique devrait être adoptée et adaptée à toute personne désireuse de se marier.

Malheureusement, certaines personnes se bercent d’illusions et pensent que « souhaiter » à l’autre un bon mariage suffit pour que cela se réalise. La famille de votre mari vous a probablement caché ses problèmes émotionnels, car elle croyait que le soutien d’une femme équilibrée l’aiderait à « marcher droit ».

Votre mari a sans doute espéré lui aussi que votre mariage réussirait, mais il n’était pas assez équilibré pour que cela se produise. En toute probabilité, sa famille était tellement désespérée de le voir mener une vie normale qu’elle a feint de considérer que son état présent l’empêchait d’être un époux stable et normal. Ils ont aussi pu attribuer ses crises et son comportement désordonné à la crise d’adolescence dont il venait de sortir.

Le procédé pré éliminatoire est une première étape fondamentale. La clef pour que ce procédé fonctionne, est de déterminer à quelles personnes s’adresser pour obtenir les bons renseignements. Essayez de contacter des personnes qui le connaissent dans différents cadres de référence – comme un compagnon de chambre, un employeur, un ancien professeur, un voisin, un collègue de travail, un rabbin. Pour savoir si la personne le connaît suffisamment pour apporter des informations utiles, posez des questions qui requièrent une réponse sous forme narrative, plutôt qu’un oui ou non. Depuis combien de temps le connaissez-vous ? Comment qualifiez-vous votre relation ? Le voyez-vous souvent ? Que faîtes-vous quand vous êtes ensemble ?

Essayez de parler à quelqu’un qui le connaît depuis longtemps, même s’ils n’ont pas été en contact récemment et même si son style de vie a changé depuis. Parmi les références, doit se trouver au moins un ami, voisin ou maître actuel.

RECHERCHE APPROFONDIE

Rappelez-vous que se renseigner sur un candidat ne signifie pas faire la chasse aux informations négatives. Si vous entendez quelque chose de négatif, ne vous précipitez pas pour émettre un jugement. Vous avez pu recevoir une information incomplète ou inexacte de quelqu’un qui ne connaît pas très bien la personne ou sa situation. Il est aussi possible que vous parliez à quelqu’un qui a une optique déraisonnablement optimiste. C’est pourquoi nous vous recommandons de parler à plusieurs personnes, surtout si vous entendez ou décelez quelque chose de négatif. Vous ne voulez pas rejeter ni accepter quelqu’un sur la base d’informations incomplètes ou mal comprises ?

Certaines questions conviennent mieux aux compagnons de chambre et amis, d’autres doivent être posées aux professeurs et maîtres. Voici quelques pistes :

• Comment se sent-on en sa compagnie ?
• Décrivez sa personnalité.
• Peut-on compter sur lui ? Est-il responsable, capable de prendre une situation en main ?
• Est-il patient ?
• Comment réagit-il quand un ami ou un membre de sa famille a des ennuis ?
• L’avez-vous déjà vu gérer une situation de crise ou d’urgence ? Comment s’est-il comporté ?
• A-t-il des amis ? Des amis proches ? Comment sont-ils ?
• Est-il capable de s’ouvrir aux autres ?
• Pensez-vous que c’est un ami fidèle ?
• Comment manifeste-t-il son appréciation ?
• L’avez-vous déjà vu frustré ou déçu? En quelle occasion ? Comment y a-t-il fait face ?
• Comment gère-t-il ses responsabilités ?
• Quand il est invité pour Chabbat, aide-t-il ? Fait-il des compliments ?
• A-t-il déjà connu une période émotionnellement difficile au cours de sa vie ? Quand ? Comment cela s’est-il terminé ?
• Quelles qualités amènera-t-il dans le mariage ?
• Avez-vous des inquiétudes quand à ses aptitudes à faire un mari équilibré ?
Quelles sont-elles ?
• Comment est sa famille ?
• Comment s’entendent ses parents ?
(Cette question peut être posée même dans le cas d’un divorce.)
• Quelle relation a-t-il avec eux ? Avec ses frères et sœurs ?

Certaines personnes qui n’ont pas l’habitude de prendre des renseignements, peuvent penser que certaines de ces questions sont indiscrètes, en réalité, elles constituent une véritable barrière de sécurité. Nous ne vivons plus dans de petits villages où tout le monde connaît les qualités et les défauts des autres.

QUESTIONS à POSER AU COURS DE LA RENCONTRE

Le procédé pré éliminatoire n’est que la première étape de la démarche qui vous permettra de découvrir votre partenaire. La rencontre est l’occasion d’écouter et d’observer. En plus d’aborder des sujets tels que votre travail, vos études, vos intérêts, votre opinion politique, vos goûts musicaux et vos passe-temps respectifs, nous vous suggérons de poser des questions qui vous permettront d’avoir une perspective plus large sur ses capacités relationnelles, sa vie en famille, sa manière de gérer les problèmes et les conflits, son besoin de pouvoir et de contrôle et ses qualités d’endurance.

Le Dr. Lisa Aiken recommande un certain nombre de questions qui vous donneront une vue d’ensemble du caractère et des capacités relationnelles du candidat. Parmi elles :

• Comment s’est déroulée votre enfance?
• Quel genre de relation aimeriez-vous construire avec votre femme ?
• Quelle relation avait vos parents ? Souhaitez-vous que votre mariage y ressemble ?
• Quelles méthodes de discipline ont-ils employé avec vous quand vous étiez enfant ? Etes-vous d’accord avec ces méthodes ?
• Comment un parent doit-il réagir quand son enfant ment, se conduit mal ou commet une erreur ?
• Selon vous, quand est-ce qu’un parent doit recourir à la force ?
• Comment vos parents ont-ils exprimé leur colère, leur affection, leur désaccord ?
Quelle est votre manière à vous d’exprimer ces sentiments ?
• Un membre de votre famille a-t-il déjà jeté des objets ou frappé quelqu’un lorsqu’il était en colère ?
• Comment vos parents passaient-ils leur temps ensemble ? Avec vous ?
• Quels ont été les moments les plus difficiles pour votre famille ?
En quoi vous ont-ils affecté ?
• Connaissez-vous un couple marié auquel vous souhaiteriez ressembler ?
• Que ressentez-vous quand on vous critique ? Comment réagissez-vous ?
• Avec qui avez-vous des atomes crochus ? Avec qui ne parvenez-vous pas à vous entendre ?
• Comment réagissez-vous quand on vous met en colère ?
• Comment vous entendez-vous avec vos parents, vos frères et sœurs ? Quelle est votre réaction lorsqu’ils expriment leur désaccord avec vous ou qu’ils vous blessent ?
• Comment gérez-vous les conflits ? Explosez-vous ? Est-ce que vous vous repliez sur vous-même ?
• Comment chaque conjoint doit-il gérer l’argent au sein du couple ? Qui paiera les factures, fera les chèques, utilisera la carte de crédit, fixera le budget ?
• Comment envisagez-vous le fait que la femme puisse travailler ? Existe-t-il des métiers que vous ne souhaiteriez pas voir votre femme exercer ? Vous montreriez-vous encourageant si elle devait terminer des études ou poursuivre une formation de haut niveau ?
• Avez-vous pris des médicaments sur prescription médicale durant les trois dernières années ? Pour quel maladie ? Quelle est leur action ? Pendant combien de temps encore devez-vous les prendre ? A quelle fréquence ces médicaments doivent-ils être pris ? A quelle fréquence les prenez-vous ?

DRAPEAUX ROUGES

Au cours du procédé pré éliminatoire et/ou de la rencontre, efforcez-vous de poursuivre quand un sujet vous cause de l’inquiétude. Quand une personne évite votre question ou bien donne une réponse incomplète ou sèche, considérez qu’il s’agit d’un drapeau rouge.

Même les meilleurs d’entre nous ont parfois leurs mauvais jours et sont susceptibles de manifester leur colère quand ils sont provoqués. Des partenaires compatibles peuvent parfaitement avoir des désaccords et même se disputer, sans que cela soit une cause d’alarme.

Certains drapeaux rouges indiquent toutefois qu’un partenaire éprouve des difficultés à se contrôler ou souffre d’un problème émotionnel plus sérieux. Parmi eux, des changements d’humeur soudains qui semblent être provoqués par une chose triviale, une difficulté apparente à maîtriser sa colère et un étalage verbal abusif.

Toute forme de violence physique (pousser, tirer, frapper) exercée sous l’emprise de la colère ou de la frustration est un drapeau rouge flagrant, même si le partenaire s’excuse plus tard et montre du remord. Ces comportements ont généralement tendance à s’aggraver avec le temps. La plupart d’entre nous se montre sous son meilleur jour lors d’une rencontre ; celui qui est incapable de maîtriser sa colère ou ses émotions dans ces moments-là souffre d’un problème plus sérieux.

Une personnalité narcissique – arrogance, trop haute opinion de soi, se considérer au-dessus de la loi ou mieux que les autres – est un autre drapeau rouge. Tout comme une marque de dédain ou un manque de respect envers les personnes qui occupent des postes dans le service public, tels que chauffeur de taxi, gérant de parking, serveur, portier (c’est ainsi que vous pouvez vous attendre à être traité quand votre partenaire ne sera plus sous son meilleur jour), ou envers vous.

Un comportement manipulateur est également un drapeau rouge. Certaines personnes ayant des tendances à la manipulation, sont capables d’avoir un échange normal quand elles tiennent à quelqu’un. Une personnalité manipulatrice devient problématique quand elle fait preuve de possessivité, s’efforçant d’isoler son partenaire de ses amis et de sa famille, de jalousie, dictant ce que l’autre doit porter, surveillant ce qu’il fait plusieurs fois par jour, insistant qu’il limite son éducation, sa capacité au travail et réduisant son accès à l’argent, ses activités quotidiennes et même ses lectures. Une personne manipulatrice rationalisera tous ces comportements et aura des difficultés à accepter un refus d’obtempérer à ses demandes. Avec le temps, elle peut finir par réagir avec colère ou violence, quand ses demandes ne sont pas satisfaites.

CONSEIL POUR LES RENCONTRES

Il est par ailleurs important de déterminer si votre partenaire admire une personne spécifique pour son savoir et son expérience, s’il la respecte et se tourne vers elle pour avoir des conseils. C’est un drapeau rouge quand on n’est pas suffisamment humble pour reconnaître que quelqu’un est plus sage que soi et qu’on refuse de demander conseil.

Un autre drapeau rouge est de ne pas supporter que quelqu’un d’autre puisse avoir le dessus – que ce soit dans un jeu ou au cours d’une discussion. On doit toujours être le « gagnant », ce qui implique que le conjoint sera inévitablement le « perdant ».

Parce qu’un partenaire mentalement instable possède généralement de nombreuses qualités, certaines personnes sont tentées de passer outre ou d’écarter les drapeaux rouges qu’elles ont détectés. Elles aimeraient croire que leur partenaire s’est laissé emporter par son émotion en se trouvant face à une personne agréable, de bonne famille, etc. Pourtant, s’il y a un domaine où il faut faire confiance à son instinct, c’est bien celui-là. Quand on a le sentiment que quelque chose « cloche », n’est pas à sa place ou qu’on se sent mal à l’aise avec l’un des aspects du caractère de son partenaire ou de sa conduite, il ne faut pas hésiter à approfondir la question.

Gardez toujours à l’esprit que chacun a tendance, lors des premières rencontres, à se montrer sous son meilleur jour, mais au fur et à mesure des rencontres, quand on se sent suffisamment à l’aise, on a tendance à baisser la garde et à se révéler tel que l’on est.

Nous suggérons de varier les activités. Faîtes des activités constructives ensemble, comme cuisiner, choisir un cadeau pour quelqu’un, organiser une excursion. L’une de vos rencontres doit au moins durer sept ou huit heures, pour que vous puissiez juger du comportement de l’autre en état de fatigue.

Croyez-le ou non, mais il peut être utile de commettre une légère erreur ou de faire quelque chose qui déplaira à votre partenaire pour juger de sa réaction. Vous pouvez oublier délibérément quelque chose et demander de revenir sur vos pas ou bien vous tromper dans le chemin qui mène au restaurant ou à un évènement, etc.

C’est également une bonne idée de passer une rencontre en compagnie d’amis ou de membres de vos familles respectifs.

Nous vous avons donné ici beaucoup d’informations, vous mettrez un certain temps à les assimiler. Tout ceci peut paraître excessif, mais croyez-en notre expérience, c’est simplement faire preuve de bon sens. Notre monde est plus complexe que jamais. Les opportunités au mariage sont nombreuses, parmi elles, certaines personnes ne sont pas encore prêtes à franchir cette étape.
Nos suggestions doivent vous aider à faire la différence.

Nous vous souhaitons le plus grand succès dans votre vie future.

Rosie & Sherry

 

Traduction et adaptation de Tsiporah Trom

 



A PROPOS DE L'AUTEUR
Rosie EINHORN et Sherry ZIMMERMAN
Rosie Einhorn (psychotérapeute) et Sherry Zimmerman (avocate spécialisée en Droit de la Famille) sont les auteurs de "In The Beginning - How To Survive Your Engagement and Build a Great Marriage" (Targum Press), et de "Talking Tachlis - A Singles' Strategy for Marriage."
Elles sont les co-fondatrices de Sasson V'Simcha (www.jewishdatingandmarriage.com), une organisation à but non lucratif qui propose des programmes et services aux célibataires. Rosie et Sherry donnent un séminaire sur "la véritable rencontre" en Israël et aux Etats-Unis.
  Liens vers les articles du même auteur (29 articles)


COMMENTAIRE(S) DE VISITEUR(S)  2
Pas de mauvaises surprises - 20 Août 2009 - par NEVEUX Karen
Bonjour,

Je viens de lire de façon très attentive la réponse adressée à Esther, et si elle me semble plein de bon sens, je la trouve également quelque peu naïve.

Si nous vivions dans un monde parfait, les réponses aux questions, judicieuses par ailleurs, seraient honnêtes. Mais pensez vous vraiment que l’entourage de la personne ou la personne elle-même répondra dans l’affirmative si la personne a un caractère autoritaire, manipulateur, possessif ou qu’il est dépressif ou quoi que ce soit qui ne soit pas « politiquement correcte ».
Cela suppose aussi que si une personne a eu une période difficile dans sa vie ou qu’il traverse des difficultés passagères, alors ce n’est pas une personne « digne » du mariage ou ayant d’autre qualités significatives.

Parce qu’il ne faut pas s’y tromper, c’est ce qui se passe dans le monde du chidou’h. A croire qu’il n’existe que des personnes lisses sur terre.

Au risque de ne pas m’attirer que des amies, est-ce que ce travail de recherche préparatoire ne serait pas du ressort de la chat’hanit ?

J’ai personnellement le sentiment que oui, et que malheureusement rares sont les chat’haniot qui le font. En tant que jeunes filles, on est bien trop souvent poussées vers des personnes sur lesquelles nous n’avons des informations que sommaires (même si nous essayons d’avoir des renseignements complémentaires).

Là où les choses se compliquent c’est qu’une fois que nous avons eu la malchance d’être présentées à deux voir trois jeunes hommes qui ne nous correspondent pas, on a tôt fait d’être cataloguées comme jeunes filles « difficiles ».

Si je me permets d’employer le pluriel c’est que je ne relate ici qu’une expérience partagée par bon nombre de mes amies.

Il se peut que j’aie une mauvaise vision des choses, ou pour le moins négative et si c’est le cas je suis tout à votre écoute !

Cordialement.

Karen
trouver l'âme soeur - 25 Octobre 2006 - par SAADOUN françoise-esther
excellent article qui devrait être lu par toutes- le seul problème est l'aveuglement amoureux- tous les conseils sont à mettre à exécution, et il n'y a pas de limite d'âge- bravo et merci -
Emettre un commentaire
 Nom
 Prénom
 Email *
 Masquer mon email ?
Oui  Non
 Sujet
 Description (700 caractères max) *
 * Champs obligatoires
...
.

Outils

MODIFIER LA TAILLE DU TEXTE
.
...
...
.

Et aussi...

.
...